16/05/02
Le Parlement fédéral suisse vote une motion visant
à geler l'argent des dictateurs.
Les représentants
suisses ont approuvé une motion qui vise à geler
l'argent 'sale' que les dictateurs ont déposé dans
les Banques suisses. Les USA auraient approuvé largement
cette décision.
Il faut que
Guelleh et ses proches se dépêchent de sortir leur
argent, car bientôt, il risque d'être bloqué
et ils ne le reverront plus jamais. Ah les pauvres ! Mais il n'y
en a pas qu'en Suisse !! Peut-être faudrait-il regarder
en Australie ou dans des pays plus exotiques.
Mais pourront-ils
le sortir avant qu'il ne soit trop tard pour eux ? Ce n'est pas
si évident que cela. Les transferts importants commencent
déjà à être mieux surveillés.
On peut rêver et imaginer que les Djiboutiens puissent récupérer
un jour une partie des sommes détournées par leurs
dirigeants.
Il serait
certainement utile que des partis ou organisation de l'opposition
informent officiellement le gouvernement fédéral,
afin qu'il effectue une enquête sur les avoirs qui pourraient
appartenir à Guelleh ou à ses proches et/ou associés
et qui ont été constitué avec les bénéfices
du pillage économique du pays.
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15/05/02
Des troupes éthiopiennes attaquent une ville frontalière
somalienne, selon des témoins (AP
et ADI)
MOGADISCIO,
Somalie (AP) - Plusieurs centaines de soldats éthiopiens
en uniforme ont attaqué mercredi la ville frontalière
somalienne de Bulo Hawo, forçant des centaines de personnes
à fuir leurs habitations à bord de charrettes, ont
rapporté des témoins.
Les forces
éthiopiennes, qui ont utilisé des véhicules
blindés et étaient soutenues par des milices somaliennes,
se sont emparées de Bulo Hawo, à quelques kilomètres
au sud de la frontière, après avoir bombardé
la ville, selon ces témoins qui n'ont pas voulu divulguer
leur identité.
La ville était
contrôlée par une faction soutenant le gouvernement
de transition du président Abdulkassim Salat Hassan.
Les autorités
éthiopiennes ont démenti l'information. "Cette
histoire est fabriquée. Chaque fois que le gouvernement
de transition fait face à des problèmes graves,
il fabrique des histoires comme celle-là", a déclaré
un haut responsable du ministère éthiopien des Affaires
étrangères.
On ignorait
le bilan de cette attaque. Un témoin qui a fui jusqu'à
la ville frontalière kenyane à Mandera, à
quelque kilomètres à l'ouest de Bulo Hawo, a dit
avoir vu les corps d'un petit garçon et d'une femme.
Le gouvernement
Abdulkassim a régulièrement accusé l'Ethiopie
de déployer des troupes en Somalie ainsi que de fournir
un appui logistique et militaire aux factions opposées
à l'administration de transition.
Les Forces
du SRRC (Conseil somalien de reconstruction et de réconciliation),
une alliance de factions opposées au gouvernement, contrôlent
les régions de Bay et Bakol dans le sud du pays, ainsi
que des parties de celle de Gedo, où se situe Bulo Hawo.
Les combats s'y sont intensifiés ces derniers jours. Les
forces du SRRC avaient été contraintes de fuir Bulo
Hawo il y a dix jours par des combattants fidèles au colonel
Abdirizak Issak Bihi qui est considéré comme un
soutien du gouvernement de transition. AP
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ADI/DJIB/2202/184
MOTS
DJIBOUTI/SOMALIE/ETHIOPIE
Des
troupes Ethiopiennes se seraient emparées de Bulo Hawo,
selon Associated Press
DJIBOUTI (ADI)-
15 mai- Plusieurs centaines d'hommes arborant des uniformes des
troupes Ethiopiennes auraient attaqué aujourd'hui une ville
frontalière Somalienne forçant ainsi des centaines
de civils à fuir leurs habitations, selon Associated Press
citant un témoin.
Associated
Press rapporte par ailleurs, que les forces Ethiopiennes qui ont
utilisé des véhicules blindés et qui étaient
appuyées par une milice Somalienne, se sont emparées
de Bulo Hawo, une ville située à quelques kilomètres
au sud de la frontière Ethiopienne.
Le ministère
Ethiopien des Affaires Etrangères a réfuté
cette information par la voix de son Porte parole M.Yemane Kidane,
qui a déclaré qu'à " chaque fois que
le Gouvernement de Transition fait face à des sérieux
problèmes, il fabrique de telles histoires."
Selon le Haut
Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés,
environ 10.000 Somaliens dont des femmes et des enfants ont fui
la région de Gedo, où des combats se déroulent,
pour la ville frontalière Kenyane de Mandera, située
à quelques kilomètres à l'Ouest de Bulo Hawo.
ADI- 18H05GMT-
15 MAI 2002.
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16/05/02
Radio-Trottoir. Le crime paye à Djibouti, même avec
les français !
Un
nouveau détournement gigantesque de fonds à l'ONARS
C'est
un certain ABDILLAHI bien connu sous le nom de "Bene Bidarlé",ex-commissaire
du district d'Ali Sabieh, puis d'Obock et beau frère de
Tour-Tour (marié à sa soeur) qui a été
nommé à la direction de l'ONARS (Office national
des réfugiés et des sinistrés).
Il semble
qu'il ait repris à son profit et sans attendre une seconde,
les bonnes vieilles méthodes et pratiques de l'ancien directeur
du HCR, qui avait obtenu une promotion de Ministre dans le Gouvernement
actuel, en récompense des détournements commis.
Cette promotion était intervenue au lendemain de la plainte
du HCR à son endroit .....
Comment procède
ce nouveau directeur : il reçoit les dons internationaux
et il s'empresse de les récupérer pour les revendre
à des commerçants complices du régime. Citons
au hasard ABDOURAHMAN BORREH,TAHER SAID SEIF, DJAMA JILAL, ABDILLAHI
FARAH ABANEH,ELMI GUESSOD etc... Il encaisse l'argent et il partage
les bénéfices avec les commerçants en question.
Ne soyons
pas injustes avec lui, il doit aussi arroser sur sa part, la haute
hiérarchie de l'Etat, afin de se garantir l'impunité
totale, en particulier, en cas d'un contrôle diligenté
par les organisations internationales qui mettrait en évidence
ces pratiques de voyou.
Le frère
de Dileyta, arrêté avec son épouse sur plainte
de l'UNICEF ! IOG le sanctionne aussitôt en le plaçant
à la direction de l'hôpital Pelletier.
IOG est cohérent.
Il soutient le crime et le vice. Il accorde des promotions à
ceux qui ont fait leur preuve en matière de détournements
de fonds.
Compte-tenu
des besoins exceptionnels de l'Etat mafieu qu'il préside,
il a besoin de recruter en permanence des 'grosses' pointures
expérimentées dans l'art de détourner les
fonds. Où trouverait-il de meilleurs éléments
si ce n'est parmi ceux qui présentent un palmarés
convaincant ?
Avoir volé
l'UNICEF, le HCR ou l'ONARS, c'est une référence
dont Guelleh a besoin absolument.
Mohamed
Awad ROUBAK, qui aurait entretenu des rapports secrets avec la
Libye pour espionner les FFDJ, est toujours favorisé dans
les appels d'offre par l'Armée française pour l'approvisionnement
de ses troupes.
On note avec
intérêt qu'Ali Mohamed Awad Roubah se voit toujours
attribué des gros marchés par le Commissaire des
Armées françaises qui n'est pas rancunier...
Les français
renouvellent chaque période des appels d'offre et curieusement,
c'est toujours notre homme qui les emporte. Quel veinard celui-là.
Les militaires s'empresseraient-ils pour lui prouver leur reconnaissance
?
Il y a quand
même de quoi être étonné lorsque l'on
sait que ce même homme a été convaincu en
1977 d'espionnage au profit de la Libye et qu'il fut un bourreau
très en vogue dans les allées du pouvoir avant l'indépendance.
Citons aussi
Abdourahman Borreh qui est adjudicataire de marchés importants.
L'Armée a-t-elle oublié que l'un de ses officiers
s'est suicidé à cause de lui ? (Un colonel qui avait
accepté un peu trop facilement de recevoir ses pots de
vin et qu'il a pratiquement dénoncé ensuite)
N'oublions
pas non plus, parmi les bénéficiares des commandes
françaises, MOHAMED ABDILLAHI connu sous le nom de SAID
BARKAT, ancien sergent de l'AND qui fut emprisonné à
Gabode pour avoir volé plusieurs tonnes de ciment qu'il
avait revendu à des civils.
Bien entendu,
ces trois personnes ne payent pas d'impôt puisqu'elles n'ont
aucun revenu et elles ne règlent pas les charges sociales
pour les personnes d'origine étrangère qui travaillent
pour eux.
Bref les services
de l'Armée française doivent se tromper dans les
analyses préalables sur la capacité et l'honorabilité
de leurs sous-traitants. Ou bien ????
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16/05/02
L'ADI relate une intervention de M Abdikassin Salam Hassan, Président
du GNT contre l'Ethiopie.
La situation
se tend dans la région. Maintenant le Président
du GNT accuse publiquement l'Ethiopie d'interventions militaires
et financières destinées à empêcher
le retour au calme en Somalie.
Après
Guelleh, c'est son ami et protégé Ab.Salam Hassan
qui monte au créneau contre l'Ethiopie.
Il est clair
que les tensions augmentent dans la région depuis l'intervention
des forces armées djiboutiennes en territoire ethiopien
et l'affaire lamentable du commando "Zakaria" râtée.
D'après
nos informations, le Yémen et l'Egypte auraient déjà
pris partie en faveur de l'Ethiopie dont ils se seraient rapprochés.
Là
aussi dans le domaine géo-politique, l'étau se resserre
autour de Guelleh, qui n'aura bientôt plus qu'un seul pays
ami autour de lui : la partie de la Somalie contrôllée
par le GNT.
Par ailleurs
les média lybiens ont confirmé l'arrivée
de Jama Ali Jama sur leur territoire .... dont nous avions annoncé
la venue dans un précédent article.
(Affaires
à suivre)
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16/05/02
Nul ne sera plus à labri de la Cour pénale
internationale.
Cet après
midi, en plein centre de Bruxelles, les autorités belges
ont procédé à larrestation de lofficier
supérieur rwandais, dorigine Hutu, Léonidas
Rustira qui faisait lobjet dun mandat darrêt
international lancé dans le cadre de la recherche des tortionnaires
qui ont sévi lors du conflit rwandais.
Lofficier
a été immédiatement incarcéré
à la prison de Forest avant son transfert, dans les jours
à venir, en Tanzanie où il sera présenté
devant le Tribunal Pénal International dAroucha.
Sa famille
aurait été immédiatement placée en
résidence surveillée et devrait être vraisemblablement
renvoyée vers son pays dorigine.
Ceci confirme
en tous points lapplication des mesures renforcées
récemment par les autorités belges en matière
denquêtes sur la localisation de faux réfugiés
politiques et de leurs familles qui utilisent cette frêle
couverture mensongère quest une fausse identité.
Les autorités
belges montrent le chemin et renforcent les mesures en matière
de localisation des « Faux réfugiés politiques
» et de leurs familles.
Daprès
des sources dinformation fiables, dautres enquêtes
auraient été diligentées en collaboration
avec les services de limmigration de lUE et devraient
permettre dassainir rapidement la situation notamment pour
ce qui concerne les « faux réfugiés politiques
djiboutiens » qui sous le couvert de « vrais fausses
cartes didentités somaliennes » et autres documents
délivrés en toute « Légalité
illégale » par les autorités djiboutiennes
notamment en la personne d'Hassan Saïd, dit "Hassan
madobé", bénéficient dun statut
et des avantages financiers inhérents auquels ils ne pourraientt
prétendre
Certains dentre
eux seraient localisés, maintenus sous surveillance car
susceptibles dêtre utilisés comme relais pour
les réseaux dAl Quaïda en Belgique mais aussi
en France, notamment en Angleterre et servir comme outils du régime
dIsmaël Omar dans les actes délimination
des véritables opposants politiques.
On murmure
que quatre listes identifiant ces « relais » auraient
été
malencontreusement
égarées
par Guelleh. Mais, daprès notre informateur, elles
ne seraient pas perdues pour tout le monde......
Décidément,
rien ne va plus dans les bureaux du Palais de l'Escale, si les
listes « ultra confidentielles » de « faux réfugiés
politiques » se perdent
..on se demande où va
la dictature ?.
Que les véritables
réfugiés politiques et leurs familles se rassurent,
le Royaume de Belgique sait faire le tri entre le bon grain et
livraie.
Tel est pris
qui croyait prendre. La Belgique ce nest pas Djibouti !.
Rappelons
nous l'épopée, récente et rocambolesque,
du Maire de Djibouti Daher Ismaïl Kahin dit "Chideh"
(qui est l'oncle de Mohamed Moussa Ali Kahin dit "Tourtour",
déjà fameux pour sa duplicité.... avec Abdillahi
Houssein dit "Nouveau").
Au cours de
leur garde à vue, ces « super barbouzes » version
Ismaël Omar
auraient rapidement vidé leur sac
et confirmé, entre autres, que des officiers de l'AND et
de la FNP étaient présents à Bruxelles.
Limmigration
et les « services spécialisés belges »
se sont penchées sur le cas des familles de ces officiers
qui avaient demandé l'asile politique en présentant
des demandes de statut de réfugiés fondées
sur de fausses déclarations.
A titre
d'exemple, les enfants du Maire de Djibouti ont déclaré
que leur père avait été emprisonné
par IOG et que ce dernier était un criminel .... (On croit
rêver ! Chiche qu'il le fait emprisonner à Gabode
pour sanctionner son échec ).
Parmi les
personnes citées par Abdillahi dit "Nouveau",
il pourrait y avoir :
- Le Commandant Mohamed Robleh de la FNP
- Le Commandant Abdo Abdallah de la FNP
- Le Lt-Colonel Ghaleb de la FNP.
On connaît
bien nos amis belges, ils sont par nature très accueillants
mais il ne faudrait pas les prendre pour ce qu'ils ne sont pas.
On ne pourrait que leur suggérer de lancer une Commission
rogatoire internationale à l'encontre d'Hassan Saïd,
homme des basses oeuvres du pouvoir en place et qui est "la
mémoire" dans bien des dossiers des "faux immigrés
politiques".
En attendant,
nous lui déconseillons l'air malsain de Bruxelles et de
la Belgique en général, se munirait-il d'une dizaine
de passeports diplomatiques ...il risquerait quand même
d'être dans l'obligation de s'expliquer sur certaines de
ses activités "parallèles".
Quant à
Moussa Ali Kahin, il continue à voyager pour effectuer
des missions ordonnées par IOG mais pour combien de temps
?.
Sa présence
est signalée en France et en Angleterre, curieusement il
semblerait éviter la Belgique depuis cet incident.
Létau
judiciaire se resserre, logique « Union Européenne
oblige ! ».
La Cour pénale
Internationale pourrait-elle se pencher prochainement sur les
dossiers des tortureurs djiboutiens que nous dénonçons
depuis des années. Leurs crimes sont au moins aussi graves
que ceux que l'on reproche à certains officiers au Rwanda.
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15/05/02
Aïnaché renonce à son projet de participation
aux travaux du GED pour poursuivre son combat individuel.
Monsieur Aïnaché nous informe qu'il ne participera
pas aux prochains travaux du GED.
Il précise
qu'il a pris la décision de démissionner pour des
raisons personnelles, mais qu'il continuera son combat politique
seul, à partir du Mans où il réside.
Note
de l'ARDHD
Monsieur Aïnaché avait été le premier
directeur nommé par Gouled, de la RTD. Assez vite, il avait
démissionné pour des raisons de conscience. Victime
ensuite de pressions gouvernementales, il avait été
contraint de s'exiler en France. S'estimant toujours fonctionnaire
de la République, il a toujours réclamé le
paiement de ses arrières de salaire.
Aprés
avoir adhéré à plusieurs partis d'opposition,
dont le FRUD qu'il avait quitté assez rapidement, il affirme
vouloir renouer aujourd'hui avec son combat personnel. Parfois
atypique pour certains, marginalisé pour d'autres, il incarne
encore pour de nombreux Djiboutiens, une certaine forme de refus
de la dictature, du chantage et de la corruption.
C'est
sans conteste une personnalité de la vie djiboutienne et
un individu libre, mais qui ne s'est jamais intégré
dans une équipe. A contre-courant de l'évolution
et des réalités du combat politique actuel, c'est
avec un certain romantisme non dénué de panache,
qu'il se rencentre sur son action individuelle et isolée.
Nos
lecteurs auront certainement le plaisir de retrouver, d'ici quelques
mois, ses chroniques "Le droit au chapitre", pleines
de subtilité, de malice et en même temps de ménagement
pour un pouvoir dont il ne conteste pas la légitimité
au fond et en l'autorité duquel il veut toujours croire.
Son
choix, à l'issue d'une période d'essai / d'observation
d'un mois ne devrait pas perturber le fonctionnement du GED. Les
responsables interrogés à ce sujet, nous ont confirmé
qu'ils remerciaient M AÏnaché pour ses conseils précieux,
mais que dans les faits, il n'avait pas encore participé
effectivement aux travaux et qu'il n'avait pas eu le temps d'apporter
son expérience personnelle au Groupe.
Monsieur
Aloumekani devrait retrouver la fonction de Porte-parole du Gouvernement
auprès du Président, fonction qu'il avait abandonné
provisoirement, pour honorer M Aïnaché.
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14/05/02
Le génocide somalien se poursuit dans l'indifférence
générale et Guelleh empoche les bénéfices.
(Lecteur)
JAMA ALI JAMA a perdu le contrôle de la région de
BOSSASSO et DE GUAROLE, capitale du PUNTLAND, il y a une semaine,
au profit du Colonel ABDILLAHI YOUSSOUF soutenu par les Éthiopiens.
Ce même
JAMA qui séjourne actuellement à Djibouti aurait
reçu des moyens militaires importants tels que des mines
antichar et antipersonnelles , RPG . Ce sont des cadeaux prodigués
par Guelleh au nom de l'État djiboutien.
Son sac à
provision rempli avec l'argent des contribuables djiboutiens,
il devrait se rendre maintenant à TRIPOLI (LIBYE) accompagné
certainement par le Colonel OSMAN NOUR SOUBAGLEH. Sur place, il
devrait toucher de l'argent pour pouvoir acheter des armes en
TCHÈQUIE et en BULGARIE.
Pour quelles
raisons IOG se mêle-t-il toujours des problèmes somaliens
?
Parce ce qu'il
y a des intérêts et que ceux-ci sont menacés
!
Il a beaucoup
investi dans les systèmes de télécommunication,
dans le commerce du sucre, des cigarettes, du ciment et des matériaux
de construction. Les affaires sont gérées par ses
deux amis et complices ABDOURAHMAN BORREH et ABDOULKASSIM SALAT
le président nommés par 300 somaliens 700 djiboutiens
à ARTA.
Et pendant
ce temps, la communauté internationale jette un voile pudique
sur le génocide permanent qui continue et qui touche le
peuple somalien. Tout cela pour que Guelleh continue à
faire fructifier ses économies.
Il faut que la communauté internationale prenne conscience
de cette monstruosité et qu'elle y mette un terme. Une
partie du problème somalien est à Djibouti et plus
précisément au Palais présidentiel.
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14/05/02
GUELLEH a-t-il déjà initié une tentative
de clonage du GED ? (Lecteur)
Depuis 1992,
date à laquelle HASSAN GOULED a été contraint
d'accepter, bien malgré lui, une timide ouverture à
la démocratie et quatre partis politiques, IOG s'était
senti en danger.
Il devait
rapidement trouver des solutions pour éviter les dangers
de la démocratie qui est son ennemi juré !!
Comme le rappelait
récemment le GED, IOG s'est cru habile en organisant le
clonage des partis. Une grande première dans le monde scientifique
! Qui avait pensé que l'on pouvait aussi cloner des partis
politiques. Ah le grand savant ! Simplement d'autres avaient déjà
trouvé la méthode avant lui ....
Comment a-t-il
opéré ?
Il a choisi
certains responsables au sein des ces partis qui étaient
plus vulnérables que d'autres et il leur a confié
une première mission : celle de créer d'abord la
zizanie puis véritablement de casser le parti.
A titre d'exemple,
parlons de SAID HASSAN connu sous le surnom de SAID HINDI. Proche
d'ELABE et membre du Comité central du PRD, il a participé
à la campagne presidentielle de 1993 avec le PRD.
Par un beau
jour, la veille du scrutin, il s'est rendu à l'ancien stade
de football où il est apparu au bras du RPP. Publiquement,
il a commencé à critiquer M.ELABE, l'accusant de
mensonge et de collusion avec la France pour rétablir le
colonisalisme.
Bref, le PND
bis allait naître de cette trahison. Et pour les autres
partis, c'est la même chose : 2 FRUD, 2 PRD. Tous ? Non
le RPP n'est pas cloné ! Bizarre et pourquoi cela ?
Comme l'ARDHD
l'écrivait dans un précédent article, on
peut se demander à partir de quel moment Guelleh décidera-t-il
de cloner le GED. Pour le GED ce serait fantastique : ce serait
la reconnaissance de son importance, de sa notoriété
et son pouvoir de nuisance envers Guelleh.
Eh
bien, chers concitoyens, j'ai appris par des oreilles indiscrètes,
que Guelleh pourrait déjà avoir tenté la
manoeuvre, mais je n'ai pas encore pu savoir le nom du ou des
pantins de service qui auraient pu accepter de participer à
ce jeu malsain.
En tout cas, cela montre l'importance grandissante du GED.
Un
jeune militant du GED
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14/05/02
Une bande de quatre personnages douteux fait main basse sur Djibouti
Télécom. (lecteur)
Selon les
confidents de la « bande des quatre » (tireurs de
ficelles à Djibouti Telecom ),
Le coup de
grâce a sonné pour Mohamed Kamil le directeur général
de Djibouti Telecom
Non pas parce
qu'il aurait compétence limitée au seul domaine
administratif, ni parce qu'il est un homme d'un âge revolu.
Simplement, son éviction s'inscrit dans le cadre d'une
stratégie machiavélique préparé de
longue date et visant à asseoir en fin de parcours Mr.
Mahamoud Issa au poste de Directeur Général de Djibouti
Telecom après un déblayage méthodique du
terrain.
Mr. Mahamoud
Issa, n'est électronicien que par un titre et soit-disant
responsable, par dessus le marché, du département
informatique. Il fait parti de la bande, selon ses proches, avec
Mohamed Hassan, secrétaire général du gouvernement
; Mr. Rifki , ministre des Télécoms et enfin Mr.
Kaled comptable de Djibouti Telecom.
Cette bande
est convaincue que Djibouti constitue pour elle « une mine
d'or ». Par-dessus le marché ils sont persuadés
que leurs compatriotes sont si peu intelligents qu'ils ne comprennent
pas leur manège. Ces hommes sont rodés aux techniques
de la mise en scène pour éliminer les directeurs
indésirables comme Mohamed Kamil.
Ils vont réaliser
un conte de fées et transformer en réalité
le rêve d'un jeune arriviste, avide de pouvoir qui va remplacer
le DG actuel.
Cette bande a éliminé 3 DG en 3 ans, après
avoir astucieusement créé la zizanie entre les Issas
et les Afars pour retirer les marrons qu'ils entassent dans leurs
coffres-forts. Il ne leur reste plus qu'une étape aujourd'hui
: celle de liquider Mohamed Kamil en l'accusant de tous les maux.
Apparemment,
la bande s'est préparée à toutes les éventualités,
soufflent-ils aux oreilles de leurs confidents. Ils disent même
qu'à défaut de Mahamous Issa, le comptable ferait
parfaitement l'affaire.
Quel gâchis
pour notre pays, pour Djibouti Telecom et ses 700 employés.
AFFAIRE A
SUIVRE ..........
Note
de l'ARDHD :
Dans son bilan anniversaire, Guelleh qui n'avait pratiquement
aucune réalisation à présenter, s'était
attardé sur la réussite de Djibouti Télécom.
Aurait-il
mieux fait de s'en abstenir ? Les djiboutiens qui ne sont ni dupes,
ni imbéciles ont bien compris l'escroquerie et le nouveau
coup porté à une entreprise qui faisait partie du
patrimoine national.
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14/05/02
Jeudi : un long article sur l'affaire BOREL dans le prochain numéro
du Nouvel Observateur à paraître.
On nous signale
que Le Nouvel Observateur de jeudi contiendra un long article
sur l'affaire Borrel et sur l'état des informations disponibles
à ce jour. Il y a fort à parier que cet article
ne sera pas du goût du Chamelier et qu'il en fera interdire
la vente sur place.
Etant informée à l'avance, l'ARDHD ne manquera pas
de reproduire le texte de l'article pour que tous les Djiboutiens
puissent en prendre connaissance.
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Haut de page ________________
12/05/02 Le Cdt Zakaria serait-il aussi recherché par
les USA ?
Un lecteur nous informe qu'il aurait entendu une information sur
Radio-bleue. Elle fait état d'un avis de recherche qui
serait lancé par les USA contre un certain Zakaria pour
complicité active dans les réseaux Al Quaïda
..
A l'heure actuelle, nous n'avons pa pu vérifier l'information
: concerne-t-elle le tortureur de Djibouti ? ou une autre personne
?
Nous remercions les lecteurs qui auraient des informations à
ce sujet de nous les communiquer rapidement.
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12/05/02
Troisième échec pour Guelleh en trente jours ! Cette
fois il tente un coup en Ethiopie, mais le renard des sables devient
le chasseur
et Hassan Zakaria détale
en battant
tous les records du marathon.
Souvenons-nous
quen des temps pas si lointains, Ismaël Omar avait
fait procéder à Addis Abéba :
- à lélimination physique du maire et de quelques
opposants politiques qui le dérangeaient,
- à l'arrestation de dirigeants du FRUD, parmi lesquels
Mohamed Kadamy et son épouse AÏcha enceinte alors,
- à l'arrestation d'Amir Adaweh qui a survécu à
l'enfer d'une séquestration dans une grotte oubliée
du monde. Il ne doit sa vie et sa liberté qu'au courage
et qu'à l'obstination de sa propre mère,
Depuis, il
est toujours resté fidèle à ses principes
de management habituels et institutionnalisés ; lorsque
que quelqu'un le dérange ou dénonce ses crimes,
IOG choisit entre trois solutions :
- emprisonnement à Gabode avec ou sans passage préalable
par la Villa Christophe
lorsqu'il lui semble plaisant dattendrir
les chairs et les esprits,
- l'envoi de sbires à l'intérieur du pays ou à
l'étranger (Ethiopie, Belgique, ..) pour éliminer
physiquement le gèneur,
-éventuellement, l'appel à la solidarité
internationale pour qu'un autre pays se charge de l'arrestation
et de l'emprisonnement des contestataires.
En dehors
de cela, il n'a qu'une mesure intermédiaire : celle de
l'intimidation téléphonique. Il fait appeler la
personne concernée par ses proches (en général
parmi ses amis, sa famille ou des membres de sa tribu) qui doivent
convaincre le réactionnaire de se taire. Si nécessaire,
on va jusqu'à exprimer des menaces de mort sur lui et sur
sa famille ; elles sont ou non suivies d'effet.
On pourrait
même entendre IOG penser
. « pourquoi devrais-je
me gêner ! »,
Sauf à Bruxelles où il semble désormais acquis
que ses équipes de tueurs encourent le risque de se faire
appréhender, en dépit de la présentation
de passeports diplomatiques ! Mais, puisque cela a toujours fonctionné
dans le passé
.."pourquoi ne pas répéter
lopération à Addis Abeba, la route est directe
?
"
 |
Un
nouveau coup de force tenté (et râté)
à Addis Abeba ?
Le Cdt Hassan ZAKARIA, le tueur, et le bourreau refait
parler de lui !
Cest
ce qu'IOG aurait tenté de faire, il y a de cela
quelques 3 jours en envoyant une solide équipe
composée dhommes de son Service de Sécurité
et de sa Garde républicaine sous les ordres du
tristement célèbre et « tortionnaire
ès lettres » le commandant Hassan Zakaria
avec mission déliminer physiquement un opposant
politique de premier plan et de faire un peu de nettoyage
dans la banlieue dAddis Abéba.
|
Là
encore comme à Bruxelles, le mois dernier, son équipe
serait tombée sur un os pour ne pas dire sur un fameux
bec !
Lefficacité
et la vigilance des Services de Sécurité éthiopiens
alliés à celles de lentourage de lopposant
politique visé (qui nest pas né de la dernière
pluie) ont mis en échec la tentative monstrueuse. (Le
compteur des échecs récents d'IOG passe à
trois !)
Chacun connaît
la chasse au lapin mais il y a aussi la chasse au renard, bien
moins connue et plus difficile pour les novices dans ce domaine.
Hassan Zakaria
était passé grand-maître de la torture (cf
nos articles sur ses activités criminelles) mais, en
dépit de sa bonne volonté pour répondre positivement
aux sollicitations du Chef, il n'a pas la pratique des opérations
à l'étranger et il s'est pris les pieds dans le
tapis de son incompténce et de sa brutalité devenues
alors inutiles
.
De plus, il
avait en face de lui un renard, un renard qui avait compris très
vite et qui le connaît bien !
Après
Bruxelles, interpellation d'une équipe de tueurs à
Addis Abeba.
Le renard se serait retourné contre les chasseurs au point
de semer la panique au sein du « commando dopérette
» qui a été aussitôt arrêté
par les services ethiopiens.
Le Chef du
« commando dopérette »
le «
vaillant » commandant Hassan Zakaria
, plus enclin
à torturer des innocents sans défense, y compris
des femmes, quà monter une opération dite
de commandos
se serait tenu à lécart
pour observer. Aux premières alertes, il aurait détalé
comme un lapin, sans demander son reste
pardon !
Décidément
dans la spère de Guelleh, ce sont toujours les subordonnés
qui reçoivent les ordres, qui les exécutent mais
qui ensuite se font appréhender, puis mettre en prison.
Les chefs, eux, se sauvent et fuient toujours leurs responsabilités
: c'est la loi de l'honneur version mafia guelleénne !
________________________
Un autre
exemple nous est donné par celui des 12 policiers djiboutiens
qui sont toujours incarcérés à Gabode tandis
que leur chef (Le général !) se promène joyeusement
dans les rues de Paris, notamment Place Vendôme (boutiques
de luxe) et qu'il effectue de fréquents voyages vers Djibouti
sans n'être jamais inquiété.
On dit
même que l'ex-Général Yacin Yabeh souffrirait
de pertes de mémoire pour toute la période de sa
vie avant le premier janvier 2001 : une sorte damnésie
subite et persistante qui lui permet de reprendre une vie normal,
vierge de tout remord ! Est-il devenu un brave homme ? Nous poserons
la question à toutes ses victimes !
Est-ce
aussi l'unique raison pour laquelle il ne se préoccupe
même pas des hommes à qui il a ordonné d'agir
le 17 décembre et qui croupissent en prison ? Que fait-il
pour eux ? RIEN ! Et il prétend qu'il a été
un Chef !
____________________________
Il n'en reste pas moins vrai qu'Hassan Zakaria, le bourreau aurait
eu peur de laisser sa vie dans cette opération avortée
délimination en Ethiopie... Son
retour (sa fuite) vers Djibouti aurait été dramatique.
"Son Excellence Ismaël Omar » napprécie
pas les échecs
des autres (les siens lui suffisent
largement !) et il devient alors horrible en face de ceux qui
n'ont pas réussi !.
Trois fiascos
successifs au cours de ces dernières semaines, «
cest à croire quils le font exprès »
doit penser Ismaël Omar. Dès
quil tente un coup par personne interposée, ses hommes
se plantent et le Chef descouade
.détale à
toutes jambes !.
On murmure
même dans son entourage immédiat, que quelquun
laurait affublé du surnom de « Ismaël
la scoumoune ». Si
on vous demandait le nom de celui qui a inventé ce sobriquet,
ne répondez surtout pas que cest Hassan Saïd
« Madobé »
ce pourrait être une
contre-vérité et de toutes les façons vous
prendriez de gros risques avec votre liberté et votre vie
(Il ne plaisante pas Hassan Saïd) !
Une
nouvelle fois « Son excellence Ismaël Omar »
serait très irrité.
Cette succession
de fiascos doit lui peser sur l'estomac, lui provoquer quelques
aigreurs et lui laisser penser que le « mauvais sort »
sacharne sur lui. En cas de persistance de la scoumoune
il pourrait être victime d'un ulcère ou d'un
malaise cardiaque.
Toutes affaires
cessantes, il aurait ordonné au Premier Ministre Dileyta
de convoquer lAmbassadeur dEthiopie dans les meilleurs
délais
Mais dans quel but !
- de se plaindre
de l'efficacité des Services de Sécurité
éthiopiens (très largement supérieurs à
ceux de Djibouti)
- de présenter
officiellement ses excuses à lEthiopie pour les «
méprises » successives de ces dernières semaines,
en rejetant totalement la responsabilité sur ses incontrôllables
subordonnés les plus directs (Ayant agi seuls et de
leur propre intiative - on connaît la version officielle
fournie par des Chefs sans scrupule qui se défilent !)
?.
Eh bien ce
n'est pas cela ! Si vous avez cru à cette hypothèse,
c'est que vous ne connaissez pas Ismaël Omar, il ne commet
pas derreurs.
M Dileyta
aurait exigé de lEthiopie quelle libère
sur-le-champ les militaires djiboutiens et les mercenaires qui
furent envoyés à Awash aux fins de déstabiliser
le gouvernement Ethiopien. Ces hommes avaient été
envoyés pour semer la discorde entre les ethnies Afars
et Issas et pour couper la route 'vitale' afin de provoquer une
asphyxie économique de la capitale Addis Abeba.
Pour faire
bon poids et bonne mesure, il a vraisemblablement mis dans le
« package des exigences» la libération des
hommes du « commando dopérette » dHassan
Zakaria.
Ne
le répétez pas, cest secret.
Le Cdt Hassan
Zakaria a-t-il été puni sévrement par Ismaël
Omar pour son échec ?
Compte tenu
du temps record qu'il aurait établi pour rejoindre en courant
le Palais présidentiel de Djibouti depuis Addis Abeba,
nous pensons qu'il devrait faire partie de la sélection
djiboutienne aux prochains jeux olympiques : catégorie
marathon ?
Si nous avons
bien intégré le caractère névrotique
et égocentrique dIsmaël Omar on peut imaginer
sa stratégie en ces termes : « Jai tenté,
sans succès, de fomenter des troubles en Ethiopie pour
imposer ma loi. Vous, les Ethipiens, vous devez me rendre mes
mercenaires, mes militaires et leur armement pour que je puisse
recommencer dans un mois
. ».
Dautre
part, selon des indiscrétions, il y a tout lieu de penser
que le Gouvernement en Exil de Djibouti pourrait avoir été
cité au cours de cet entretien entre M Dileyta et lAmbassadeur
dEthiopie. On dit qu'à cette occasion, Ismaël
Omar Guelleh, par Premier MInistre interposé, aurait reproché
à lEthiopie de n'avoir pas refusé officiellement
de reconnaître le GED ....
Pourquoi
le ferait-elle ? Ce serait bien mal connaître le Gouvernement
Ethiopien.
Si les manigances
et les gesticulations dIsmaël Omar Guelleh avaient
été tolérées jusqu'à ces derniers
jours, nous navons pas le sentiment que le Premier Ministre
M Meles Zinawe soit l'homme à supporter que lon vienne
semer la discorde dans son pays alors quil sefforce
dy maintenir la paix. A fortiori lorsqu'on l'opération
a donné lieu à une violation caractérisée
des frontières de son pays.
Dun
côté, il y a un dictateur qui a falsifié les
élections en 1999 à Djibouti et qui ne cesse de
semer la zizanie dans la corne Est de lAfrique, qui tente
d'asphyxier l'économie de l'Ethiopie.
De lautre, il y a le Gouvernement en Exil (GED) qui soutient
les actions et les bonnes volontés, en particulier celles
de lEthiopie, pour maintenir la paix. Il a condamné
récemment et avec fermeté tous les actes irresponsables
dingérences dIsmaël Omar Guelleh dans
les affaires intérieures dun pays ami et dans le
viol d'un territoire étranger.
A la place
des Ethiopiens, nous aurions vite fait le choix !
En deux mois,
le nom de « GED » semble avoir acquis une forte notoriété
au sein de la population djiboutienne qui vit dans la misère
et qui subit la terreur du dictateur auto proclamé «
Ismaël Omar dit la scoumoune ». Lespoir pour
les populations ne peut aujourd'hui venir que du GED qui lui propose
de construire un autre avenir. Sera-t-il compris et suivi ?
Le seul risque
c'est qu'il soit freiné par de nouvelles manoeuvres hasardeuses
que Guelleh pourrait être tenté de fomenter en utilisant
les liens tribaux des uns et des autres. On peut même se
demander "à quand le clônage du GED", selon
la technique favorite de Guelleh ?
Ajoutons à
cela que le Gouvernement en Exil de Djibouti reconnaît la
réalité de lexistence du Somaliland et de
son peuple, tandis quIsmaël Omar parle toujours d'elle
de façon péjorative comme de la région administrative
du Nord-Ouest ... et qu'il
gnore volontairement tous les liens familiaux, damitié
et commerciaux qui sont une réalité ancestrale entre
les Peuples djiboutiens et Somalilandais.
Le chamelier
tourne en rond. Son avenir est derrière lui maintenant
et il commence à en prendre conscience, mais c'est trop
tard pour lui. Et les gamelles, dont nous parlions dans un précédent
numéro, sont toujours là, de plus en plus présentes.
Des échéances difficiles finiront par survenir.
Affaire Borrel, affaire des faux dollars, prisonniers politiques,
massacre d'Arriba, massacre d'avril 2002, détournement
de fonds, enfants mineurs incarcérés et violés,
etc....
________________
Haut de page ________________
11/05/02
Trois ans de règne dictatorial avec les pleins pouvoirs
! Le bilan d'une catastrophe 'annoncée' sur tous les plans
!
Guelleh le
reconnaît : en conclusion (d'après l'ADI), il pense
s'en sortir en prononçant une phrase creuse pitoyable :
"Je nai pas la prétention de dire que
jai accompli mon devoir mais je nai pas non plus le
sentiment davoir échoué".
Avec cela
on est bien avancé !! Mais au fait quel était son
devoir ?
En tant que
Président de la République (auto-proclamé),
son devoir était de gérer le pays et de répondre
aux aspirations du Peuple.
Qu'a-t-il
fait dans ce domaine ?
Le bilan de
ces trois années est le plus tragique et le plus lamentable
que Djibouti n'ait jamais connu, même du temps de Gouled.
Le bilan est
tragique : les retards de paiement des salaires dans la fonction
publique atteignent maintenant neuf mois ! L'Éducation
est au plus mal. Le baccalauréat djiboutien ne sera plus
reconnu dans les pays européens et les jeunes qui veulent
y étudier devront repasser un nouvel examen. Les professeurs
sont mal traités. Les services de santé sont démunis.
On frappe
publiquement les personnes âgées qui ont le culot
de solliciter le paiement de leurs maigres retraites.
On tire à
balles réelles et on tue d'anciens soldats qui avaient
déjà été blessés dans la guerre
contre les résistants du FRUD
L'économie
est à bout de souffle.
Bref, Guelleh,
pour une fois lucide et clairvoyant, admet qu'il n'a pas accompli
son devoir ! Créditons-le pour cette belle, triste et inutile
franchise ! D'autant plus qu'il s'est payé plus que grassement
pendant ce temps. Pour ne rien faire !
La question
est de savoir le temps pendant lequel le Peuple djiboutien supportera
encore cette équipe de sangsue qui suce toutes ses forces
vives pour assouvir son insatiable avidité personnelle.
Parions qu'il n'y en a plus pour très longtemps !
Voyons
maintenant les grandes réalisations d'IOG, décrites
par lui-même et reprises pas l'ADI:
"Le
Port autonome de Djibouti qui est mieux géré"
:
rappelons que Guelleh en a vendu la concession à une entreprise
du Golf et qu'il a touché personnellement une grosse somme
à cette occasion, plus une part des redevances annuelles.
Et en plus il ne le gère plus ! Pas étonnant que
le Port fonctionne mieux !
"Djibouti-Télécom
serait sur le point de redevenir un leader dans la région".
Avec le passage du câble sous-marin qui part de
Marseille et qui rejoint le continent indien et l'aide des techniciens
français, Djibouti tenait une place importante dans les
télécommunications. Des faisceaux secondaires partent
de Djibouti pour alimenter plusieurs pays de l'Afrique de l'Est.
Aujourd'hui la création de Djibouti-Télécom
est tout à fait trouble : nous savons que la famille Guelleh
est très impliquée personnellement et à un
fort niveau dans le capital. Le nom de domaine '.dj' a
été vendu à l'étranger. Les chinois
interviennent.
S'il y a une
grande réussite au niveau de Djibouti-Télécom,
c'est dans la sur-capacité d'écoute et d'enregistrement/espionnage
de toutes les conversations privées, des fax et des transmissions
Internet. Pour y parvenir, beaucoup d'argent a été
dépensé afin de porter atteinte à la vie
privée des Djiboutiens, qui n'osent plus parler au téléphone
et qui sont souvent obligés d'utiliser des cabines téléphoniques
pour pouvoir s'exprimer .....
"La
signature des accords avec le FRUD" : on croit savoir
que Dini a été contraint de signer ces accords de
pacotille en cédant à un chantage sur ses biens
immobiliers qui, sinon, auraient pu être vendus aux enchères.
Cet accord est creux et même en retrait par rapport à
un accord précédent. Bref ce n'est pas une réalisation
grandiose, qui n'a pas produit de grands effets jusqu'à
présent.
La décentralisation
: "Parmi les grands chantiers du chef de l'État
figure aussi la décentralisation à laquelle un coup
d'accélérateur fut très vite donné.
Le transfert des compétences de l'État vers les
régions s'effectue par petites touches successives".
Aux termes des accords signés avec le FRUD de Dini,
la décentralisation doit s'instaurer. C'est un fait ! Mais
qui se garde l'octroi des budgets ? Guelleh seul !
Sans le recours à l'Assemblée nationale !
Que pourront
faire des régions dont les finances dépendront directement
du Chef et non de la représentation nationale ? Obéir
à la Loi du Chef, pardi !
"Sur
la scène régionale, le plus beau des exploits du
Président Ismaïl Omar Guelleh fut d'avoir réuni
les représentants de l'ensemble de la société
civile somalienne et les principaux acteurs du drame de ce pays
à Arta".
Nous apprenons
qu'il s'agit d'un exploit !
Bien que soutenu
par la communauté internationale, qui était enchantée
de fournir au mois une solution et de se débarasser du
problème, la Conférence d'Arta est un échec
que l'on peut mesurer aujourd'hui avec le recul : rien n'est réglé
en Somalie et le pays est toujours troublé.
L'autorité
du GNT n'est pas établie (loin de là) et on peut
affirmer qu'Arta n'a rien réglé. Le seul point positif
pour Guelleh est ce que cela lui a rapporté financièrement,
car il a su faire payer la communauté internationale et
encaissé personnellement des fonds importants.
Le
chef d'oeuvre de ce texte : c'est l'appréciation de l'ADI
concernant le bilan intérieur ! "
Pour en revenir aux affaires domestiques, disons que le bilan
de la première moitié du mandat du Président
Guelleh est plutôt positif".
Si l'impayable Directeur de l'ADI (celui
qui a chauffeur et voiture de fonction, mais qui oublie d'aller
au bureau de temps à autre)
avait voulu saborder la communication de son Excellence, il ne
s'y serait pas pris autrement.
Plutôt
positif ! Tout le monde sait que l'on emploie ce terme, lorsque
la situation est dramatique et que l'on ne trouve vraiment rien
d'autre à dire. Un autre leader l'avait employé
de façon similaire mais un peu plus optimiste (globalement
positif) : Georges Marchais, Président du Parti Communiste
français l'avait utilisé à son époque
pour qualifier le bilan de l'ex-Union soviétique et l'on
sait pourquoi !
Ah ! Qu'il est maladroit ce directeur de l'ADI ! On peut pas dire
qu'il aide beaucoup le chef ! Ces références et
ces mots tueraient presque définitivement l'image de son
patron !! Guelleh va-t-il le mettre à Gabode ?
Rien pour
l'économie ! Rien pour la santé ! Rien pour la justice
! Rien pour la démocratie ! Rien pour les prisonniers politiques
! Rien pour l'éducation !
Rien pour
l'avenir !
La seule bataille imaginée par Guelleh pour l'avenir est
celle de l'eau. S'il est tout à fait vrai que la gestion
de l'eau sera un problème mondial dans l'avenir et qu'il
faut l'organiser dès maintenant en particulier dans la
région, nous sommes littéralement ahuris de constater
que Guelleh estime qu'il n'a plus rien d'autre à faire
que cela !
Avec la lecture
de ce bilan publié dans l'ADI, il n'y a besoin d'être
opposant pour comprendre que Guelleh a atteint sa limite. C'est
clair : Il est affolé ! Il n'a plus de projets ! Il ne
sait plus comment sen sortir !
Cela confirme
malheureusement, ce que nous disons depuis plusieurs mois. C'est
un homme fini, sans réalisation et sans projet. Il est
temps que les Djiboutiens le changent, car il ne pourra maintenant
les conduire qu'à la ruine totale de l'économie,
de l'État, des Institutions et de la société
qu'il essaye encore de diviser en suscitant des affrontements
tribaux, y compris en terre étrangère (Éthiopie).
________________
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11/05/02
Cette semaine L'Ordre des Brosses à Reluire accueille Mme
Hawa Ahmed Youssouf, Ministre chargée de la Promotion de
la Femme, du Bien-être familial et des Affaires sociales.
Mme la Ministre
s'est rendue à New York, accompagnée de deux enfants
djiboutiens pour vanter non seulement les réalisations
du Gouvernement de Guelleh en faveur des enfants mais aussi les
progrès accomplis.
L'Ordre des
Brosses à reluire a tenu lui rendre hommage et à
la féliciter en la cooptant.
Mme Hawa Ahmed
Youssouf a été élevée à la
dignité "d'avocat du diable", pour avoir
soutenu et défendu la soi-disant action de Guelleh en faveur
des enfants à Djibouti.
Nous savons
que le régime de Guelleh a emprisonné pendant six
mois des enfants mineurs dans le quartier des adultes de la prison
de Gabode et qu'ils y ont été violés. Leur
crime, reconnu par le Procureur de la République, était
d'avoir 'sniffé de la colle sur la voie publique'.
Nous accusons
le régime de Guelleh de saborder l'école publique
et de créer l'inégalité des chances, selon
l'appartenance familiale et tribale.
Nous accusons
le régime de favoriser ceux dont les parents coopèrent
publiquement avec lui et d'attribuer des bourses sur des critères
qui n'ont rien à voir avec les mérites et/ou les
efforts scolaires. Nous accusons certains diplomates (ex-diplomates)
en poste dans les Ambassades de Djibouti à l'étranger
d'avoir détourné les bourses pour leur intérêt
personnel.
La situation
des jeunes à Djibouti est absolument catastrophique, tant
sur le plan de l'éducation, que sur les plans de la santé
et de l'économie : souvent les parents n'ont pas été
payés depuis 7 à 9 mois et ne peuvent plus nourrir
convenablement leurs familles....
Aller à
New York pour expliquer les progrès réalisés
à Djibouti pour les enfants (alors qu'il faut parler de
dégradation continuelle) mérite largement l'admission
au sein des Brosses à reluire
Sur
la base de ces considérations, nous élevons
Mme Hawa Ahmed Youssouf
Ministre chargée de la Promotion de la Femme, du Bien-être
familial
et des Affaires sociales

au Grade d'Avocat du Diable
et nous la félicitons vivement pour son engagement aux
côtés de Guelleh
et pour sa surprenante capacité à travestir la vérité
devant les plus hautes instances internationales.
Extrait édifiant des informations publiées
par La Nation.
A la tête
d'une délégation officielle de trois membres, Mme
Hawa Ahmed Youssouf, ministre chargée de la Promotion de
la Femme, du bien être familial et des Affaires sociales,
devrait comme prévu participer à la Session extraordinaire
de l'Assemblée générale des Nations Unies
consacrée aux enfants. Sommet de l'enfance qui ouvre ses
portes à New-York le 8 mai prochain pour s'achever le 10
mai 2002.
A cet effet,
le départ de la ministre pour la ville New-Yorkaise est
prévu pour le 4 mai 2002, précédé
par celui des deux jeunes lauréats représentant
la jeunesse djiboutienne, Aragsane Mohamed Aden et Abdourazak
Ali Cher qui, eux, se sont envolés pour les Etats-Unis
dans la soirée du 2 mai 2002.
Avant le
départ de la Ministre et des deux lycéens, "
La Nation " a pu s'entretenir dans la journée du 30
avril dernier avec le trio réuni. Un bref entretien qui
s'est déroulé dans les locaux du ministère
de la Femme au Palais du Peuple de Djibouti.
C'est ainsi
que Mme Hawa Ahmed Youssouf, entourée des deux jeunes lauréats
(Aragsane et Abdourazak), nous a d'abord indiqué que le
sommet des Nations Unies, auquel elle participera, vise à
dresser un bilan sur ce qui " a été entrepris
et réalisé depuis 1990 en faveur des enfants au
niveau mondial ".
1990, l'année
de la promulgation de la Convention internationale relative aux
droits des enfants que la République de Djibouti, entre
autre, avait ratifiée au courant de la même année.
A comprendre donc qu'il s'agit actuellement de faire le bilan
d'une décennie post-ratification de cette convention stipulant
les droits et les intérêts des enfants à travers
le monde.
"
Ce sommet ", précisera Mme la ministre, " devra
examiner les progrès accomplis dans chaque état
en ce qui concerne les enfants, tant au niveau de l'éducation
(par exemple) qu'à celui de la santé, de la scolarisation
des filles et même de lalphabétisation des
jeunes filles " Sur ce dernier point, Mme Hawa Ahmed Youssouf
a fait observer que " nous avons de plus en plus de jeunes
filles qui abandonnent l'école ". Raison pour laquelle,
selon elle, " il faudra bien sûr penser à trouver
des mesures " pour y remédier.
Dans la
foulée, jetant rapidement un tendre regard sur les deux
lauréats qui l'entourent, la ministre de la Promotion de
la Femme, du bien-être familial et des Affaires sociales
s'est dit " très heureuse que ces deux jeunes aient
été sélectionnés au niveau national
" pour participer au prochain sommet de l'ONU les concernant
et au Forum des enfants.
Un sommet
qui, de l'avis de la ministre, offre " à tous les
enfants du monde " l'opportunité " de se rencontrer,
de discuter et d'échanger leurs idées ".
S'agissant
des deux lycéens djiboutiens, Aragsane et Abdourazak, la
ministre de la promotion féminine nous apprend aussi que
" ces enfants pourront prononcer des discours pour dire ce
qu'ils pensent de leur pays et comment ils voient leur avenir
".
_________________
Haut de page ________________
|
l'HOMME
OU LA FEMME
DE LA
SEMAINE.
Dans
cette rubrique nous signalons à l'opinion internationale, celle
ou celui qui s'est distingué(e)
- soit par son zèle pour soutenir la dictature,
- soit en violant les Droits de l'Homme : cruauté, tortures,
exécutions sommaires, emprisonnements arbitraires, viols, assassinats,
destruction de cheptels ou de point d'eau, destruction d'écoles
ou de centres de soins, etc. .
Auront-ils
à répondre un jour
de leurs actes
et de leurs crimes
devant un tribunal pénal international ?
Rappel
des personnages
déjà "élus" :
LA
LIBERTÉ N° 17 -
Mme LEILA, juge d'instruction
LA LIBERTÉ
N° 19 -
Omar FARAH, gendarmerie
d'Ali Sabieh
LA LIBERTÉ
N° 29 -
Le général Yacin YABEH,
LA
LIBERTÉ N° 32 -
Le directeur de la Prison de Gabode,
LA
LIBERTÉ N° 33
-
Ali Mohamed ABDOU, procureur général
LA
LIBERTÉ N° 35 -
Mme Hawa Ahmed YOUSSOUF Ministre déléguée
conjointement avec
M. Le Représentant de l'UNICEF
à Djibouti.
LA LIBERTÉ N° 36
-
M Ibrahim Idriss DJIBRIL, Ministre
de la Justice, conjointement avec M
Mohamed Ali ABDOU, procureur général
de Djibouti (2ème nomination)
BULLETIN N°
4 -
Lieutenant GUELLEH de la FNP
BULLETIN
N° 7 -
Le responsable des forces de police qui
a donné l'ordre le 24 juin de tirer à balles réelles
sur Daher Guedi FOUREH.
BULLETIN
N° 16 -
M Yacin Elmi BOUH,
Ministre de l'Économie et des
Finances.
LA LIBERTÉ
bulletin N° 23 -
M. Yacin Elmi BOUH,
Ministre de l'Économie et des
Finances (2ème nomination)
LA LIBERTÉ bulletin N°
28 -
Monsieur Abdallah Abdillahi Miguil, Ministre
de l'Intérieur
LA
LIBERTÉ bulletin N° 29 -
Monsieur MOGUEH, Ministre délégué
aux affaires musulmanes
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 32 -
Madame Nima Ali Warsama,
Juge d'instruction
LA LIBERTÉ
- bulletin N° 36
Monsieur Ali Mohamed Daoud - Ministre de l'Agriculture
et du développement rural.
LA LIBERTÉ
- bulletin N° 37
Le
Lieutenant-colonel Abdourahman Ali Kahin,
Chef du groupement de police du district de Djibouti.
LA LIBERTÉ - bulletin
N° 40
Le procureur IBRAHIM,
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 42
M.
Idriss Arnaoud Ali, Directeur
de Publication du Journal le Progrès, Président de la
Commission Permanente de l'Assemblée Nationale et Secrétaire
Général Adjoint du Parti RPP.
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 43
le Président Saïd Mahamoud Abkar, Cour
criminelle de Djibouti.
LA
LIBERTÉ - bulletin N° 48
Hassan Saïd
dit "Modaubé" Chef de la Police
OBSERVATOIRE
N° B106
DJAMA SOULEIMAN, procureur
auprès du Tribunal de Première instance de Djibouti.
OBSERVATOIRE N° B132
ALI HASSAN, chef
de la Police, pour un acte gratuit de cruauté
envers un blessé grave.
OBSERVATOIRE
N° B138
Le Procureur général Ali Mohamed
Abdou, pour déni
de justice envers les prisonniers politiques et pour des déclarations
mensongères sur RFI.
OBSERVATOIRE
N° B142b
Le Lieutenant-Colonel Abdo Abdi Dembil et le
Lieutenant Mohamed Djama, officiers de la Garde présidentielle,
pour avoir donné l'ordre
de tirer à balles réelles, le jeudi 18/04/02, sur les
vétérans de la guerre contre les résistants du
FRUD, qui manifestaient pacifiquement pour réclamer le paiement
des arrièrès qui leur sont dus.
Les
principaux responsables
d'actes de torture
à Djibouti.
En
attendant que la justice pénale puisse instruire les plaintes
des victimes de mauvais traitements, de spoliation, de viols, de torture
et d'emprisonnement arbitraire (. . . ), nous rappelons, chaque semaine,
à l'opinion publique internationale les noms des tortionnaires
qui ont été le plus souvent cités par les victimes,
et ce jusqu'à ce qu'ils soient inculpés.
-
Colonel
Mahdi Cheikh Moussa,
- Colonel
Omar Bouh Goudade
- Lieutenant-colonel
Hoche Robleh
- Commandant
Zakaria Hassan
-
Lieutenant Ladieh
-
Lieutenant Mohamed Adoyta
-
l'aspirant Haroun (expulsé par
le Canada et déchu de la nationalité canadienne)
-
Le sous-officier Naguib
-
l'adjudant Tane
-
Kalifa
-
Wagdi
Certains
se seraient déjà réfugiés à l'étranger
(USA et Canada) sous de fausses identités, mais ils sont placés
sous surveillance, par les polices locales.
Nos
informations sur la torture à Djibouti et les récits
des victimes
--------
Sommaire ---------
l'Ordre des
Brosses à Reluire 
Roger
Picon
réunit
les meilleurs chantres du régime dictatorial
Bulletin
n° 44
Mahdi Ahmed Abdilahi
au grade de "Cireur de Pompes"
- Premier échelon
Bulletin
n° 45
Monsieur
Ali Abdi, Ministre
des Affaires Etrangères au grade "d'hyène
fonceuse" - Premier échelon
Monsieur
Johar, Ministre
du commerce au grade "d'hyène repue"
- Premier échelon
Bulletin
n° B122
Mohamed
Ali Mohamed (dit DIG DIG), auteur
de l'article "Pour
un peu plus de patriotisme"
(paru dans le journal La Nation N°91 du 12/11/01) au grade de "Léche-bottes"
avec mention spéciale.
Bulletin
n° B127
l'ensemble des journalistes de La Nation pour
un article paru début janvier 2002 et intitulé "Pour
la liberté de la Presse", collectivement au grade de 'faux-culs'
avec la barrette spéciale de dénonciateurs.
Bulletin
n° B134
M.
Ismael Ibrahim Houmed, Ministre
de la Justice, des Affaires Pénitentiaires et Musulmanes, Chargé
des Droits de lHomme,
pour sa langue de bois, au grade de 'Somnifère'.
Bulletin
n° B135
M.
Wahib Ahmed ben Ahmed, Président
du MSR pour une déclaration en faveur de la dictature et pour
ses contradictions, au grade de 'Clown'
Bulletin
n° B143
ZAKITAHA,
journaliste qui a signé un article
publié dans La Nation sous le titre "Vers un apprentissage
serein de la Démocratie", au grade de "Baratineur
patenté".
Bulletin
n° B146
Mme
Hawa Ahmed Youssouf
Ministre chargée de la Promotion de la Femme,
du bien être familial
et des Affaires sociales, pour sa plaidoirie en faveur de l'Action de
Guelleh pour la jeunesse et des progrès accomplis, au grade "d'Avocat
du Diable"
|